Czy znaliśmy Żydów, których uratowaliśmy? Nie znaliśmy. Opowiem pokrótce swoją historię. Mieszkaliśmy w willi na Mokotowie. Matka romanistka uczyła w szkole im.Poniatowskiego na ul. Lisa Kuli. Ojciec mój był inżynierem. Miałem jeszcze dwóch braci; 10 lat starszy i 6 lat starszy ode mnie. Ja byłem najmłodszy. Tak się zaczęła historia z Żydami. Już w czasie wojny mój najstarszy brat, był już w Armii Krajowej, ja wtenczas byłem w Szarych Szeregach, miałem wtedy 15 lat. W czasie wojny się szybciej dorasta niż teraz. Tam gdzie mieszkaliśmy, koło Fortu Mokotów, było dowództwo Luftwaffe. Nasz dom nie był na szczęście zajęty przez Niemców, ale mieszkali oni już 4 domy dalej. Któregoś wieczoru mój brat w czasie godziny policyjnej przyprowadził do domu młodego Żyda o wyraźnych rysach. Powiedział, że ma on się przechować do jutra. Strach nas zdjął. Niemcy, którzy w każdej chwili wchodzili, bo szukali kwater, a to przychodzili coś kraść, bo im przecież było wolno, w każdej chwili mogli wpaść do naszego domu. Bardzo grzecznie wchodzili do domów, żeby nie było. Pukali. Kolbą. Po trzecim uderzeniu wywarzali drzwi. No więc zaczęliśmy szukać jakiejś kryjówki dla tego młodego chłopaka. Wpadłem na pomysł, żeby go ukryć w piwnicy pod schodami, za skrzyniami. Daliśmy mu jedzenie, jakiś stołek, herbatę i tam siedział w tej piwnicy. Mieliśmy ogromnego stracha, przez całą noc nasłuchiwaliśmy, czy nikt nie idzie, bo przecież udzielanie pomocy Żydom było wtedy karane śmiercią. Następnego dnia, tuż przed godziną policyjną , gdy było ciemno i wtedy to właśnie przenosiło się broń powstańczą, czy gazety podziemne, ktoś przyszedł do nas do willi odebrać od nas tego Żyda. Kim był ten młody chłopak - nie wiemy, nie wiemy tez, co się z nim później działo. Wtedy to dopiero zdaliśmy sobie sprawę z tego, jaki to jest strach przetrzymywać u siebie w domu Żyda. Ja, młody chłopak wtedy, pamiętam, że nie spałem, a co dopiero moi rodzice, którzy przecież narażali całą rodzinę. Potem był drugi raz, trzeci raz, ktoś z mojej rodziny przyprowadzał do domu Żydów.
CONSPIRACY HELP
Did we know the Jews we saved? We did not. I will step by step tell you my story. We lived in a villa on Mokotów. My mother teached french in school on Lisa Kuli street. My father was an engineer. I had two brothers: one ten years older, second had six years more than me. That is how the hitory began. One day my oldest brother who was in „Home Army” came home with a young Jew. We were very afraid. Germans could come to our home at any time without knocking or asking. So we hide him in the basement. We gave him a chair, tea and food. We were very frightened, because for helping Jews was death penalty. Next day someone came to our house and get him. Who was that boy and what happened with him afterwards we do not know. After that, we understood how it is mentally hard to keep a Jew in your home. I remeber that as a boy because of fear I did not sleep so how did feel my parents? Later my brothers brought Jews couple of times.
L’AIDE CONSPIRATOIRE
Est-ce qu’on connaissait les Juifs avant de les sauver?- Non. Je vais vous raconter mon histoire. On habitait dans une villa à Mokotow. Ma mère était proffesseur de la filologie romaine, elle travaillait dans une école portant nom Poniatowski, sur la rue de Lisa Kuli. Mon père était ingénieur. J’avais encore deux frères: 10 ans de plus que moi et 6 ans plus que moi. Moi, j’étais le plus jeune de nous tous. C’est ainsi qu’a commencé l’histoire avec les Juifs: Pendant la guerre déjà, un de mes frères, qui était membre de Armia Krajowa( moi j’étais à Szare Szeregi pendant ce temps là, j’avais 15 ans, je dois vous dire que pendant la guerre on grandit plus vite que maintenant) a rammené un Juifs avec lui, pendant l’heure policière. Il avait des traits juives, ca se voyait tout de suite. Je dois mentionner que tout près de notre maison était le commandement general de Luftwaffe. Mon frère a dit qu’on doit garder ce jeune Juif jusqu’a demain. On avait peur. Les Allemends pénetraient les maisons tout le temps, il rentraient, volaient des choses, pendant leurs excursions comme celles-ci il pouvaint aussi rentrer chez nous. Alors on a commencé à chercher une cachete pour ce jeune homme. Mon idée était de le cacher dans la cave, sous l’escalier, derière les coffres. On lui a donné à manger et une chaise, pour qu’il puisse s’asseoir. Pendant toute la nuit on avait très peur, on écoutait si personne viens. L’aide donné aux juifs était pendant ce temps la punie. Les sauveurs attendait la mort. Le lendemain, juste avant l’heure policière, (quand il était noir, c’est là qu’on transportait les armes, ou les journaux de resurrection) quelqu’un de Armia Krajowa est venu dans notre villa et a pris le jeune homme. Qui etait cet homme? On ne sais pas. On ne sait pas non plus ce qui s’est passé avec ce jeune Juif, on ne sait pas s’il a survécu la guerre. Mais c’est là, qu’on s’est rendu compte comment c’était dangeureux d’aider les Juifs, comment on avait tous peur!.Moi, jeune homme, je ne pouvais pas dormir pendant cette nuit, et alors quoi dire de mes parents, qui risquaient la vie de toute la famille? Après cette nuit il y avait encore une deuxième, puis un troisième fois quelqu’un de ma famille amenait avec lui un Juifs pour une ou plusieures nuits.
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Did we know the Jews we saved? We did not. I will step by step tell you my story. We lived in a villa on Mokotów. My mother teached french in school on Lisa Kuli street. My father was an engineer. I had two brothers: one ten years older, second had six years more than me. That is how the hitory began. One day my oldest brother who was in „Home Army” came home with a young Jew. We were very afraid. Germans could come to our home at any time without knocking or asking. So we hide him in the basement. We gave him a chair, tea and food. We were very frightened, because for helping Jews was death penalty. Next day someone came to our house and get him. Who was that boy and what happened with him afterwards we do not know. After that, we understood how it is mentally hard to keep a Jew in your home. I remeber that as a boy because of fear I did not sleep so how did feel my parents? Later my brothers brought Jews couple of times.
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Est-ce qu’on connaissait les Juifs avant de les sauver?- Non. Je vais vous raconter mon histoire. On habitait dans une villa à Mokotow. Ma mère était proffesseur de la filologie romaine, elle travaillait dans une école portant nom Poniatowski, sur la rue de Lisa Kuli. Mon père était ingénieur. J’avais encore deux frères: 10 ans de plus que moi et 6 ans plus que moi. Moi, j’étais le plus jeune de nous tous. C’est ainsi qu’a commencé l’histoire avec les Juifs: Pendant la guerre déjà, un de mes frères, qui était membre de Armia Krajowa( moi j’étais à Szare Szeregi pendant ce temps là, j’avais 15 ans, je dois vous dire que pendant la guerre on grandit plus vite que maintenant) a rammené un Juifs avec lui, pendant l’heure policière. Il avait des traits juives, ca se voyait tout de suite. Je dois mentionner que tout près de notre maison était le commandement general de Luftwaffe. Mon frère a dit qu’on doit garder ce jeune Juif jusqu’a demain. On avait peur. Les Allemends pénetraient les maisons tout le temps, il rentraient, volaient des choses, pendant leurs excursions comme celles-ci il pouvaint aussi rentrer chez nous. Alors on a commencé à chercher une cachete pour ce jeune homme. Mon idée était de le cacher dans la cave, sous l’escalier, derière les coffres. On lui a donné à manger et une chaise, pour qu’il puisse s’asseoir. Pendant toute la nuit on avait très peur, on écoutait si personne viens. L’aide donné aux juifs était pendant ce temps la punie. Les sauveurs attendait la mort. Le lendemain, juste avant l’heure policière, (quand il était noir, c’est là qu’on transportait les armes, ou les journaux de resurrection) quelqu’un de Armia Krajowa est venu dans notre villa et a pris le jeune homme. Qui etait cet homme? On ne sais pas. On ne sait pas non plus ce qui s’est passé avec ce jeune Juif, on ne sait pas s’il a survécu la guerre. Mais c’est là, qu’on s’est rendu compte comment c’était dangeureux d’aider les Juifs, comment on avait tous peur!.Moi, jeune homme, je ne pouvais pas dormir pendant cette nuit, et alors quoi dire de mes parents, qui risquaient la vie de toute la famille? Après cette nuit il y avait encore une deuxième, puis un troisième fois quelqu’un de ma famille amenait avec lui un Juifs pour une ou plusieures nuits.
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